La Lozerienne VTT 2023, le résumé complet !

Second volet de la saga Lozerienne avec cette fois-ci la version VTT sur trois jours. Au programme trois étapes sur trois sites différents pour nous offrir une visite complète de ce département de la Lozère, voyage en immersion au coeur de la course.

Par Fred Ischard – Photos : LVO

Étape 1: Causse de Sauveterre et Gorges du Tarn

Rendez-vous au Massegros, petit village du sud Lozère situé à 800 mètres d’altitude. Il fait grand beau temps en ce samedi 6 mai, une magnifique journée de vélo s’annonce avec au menu du jour 70 kilomètres et 1700 mètres de dénivelé à travers le causse de Sauveterre. Je commence par la récupération du dossard pour les trois jours avec quelques petits cadeaux locaux offerts dans le pack d’inscription. Le retrait des dossards est rapide et l’accueil toujours aussi chaleureux, j’en profite pour accepter avec plaisir un café et quelques viennoiseries.

L’heure du départ approche, il s’effectuera groupé en mass-start pour un chrono de 4 kilomètres quasi tout plat qui promet d’être extrêmement rapide. C’est parti, nous sommes à allure neutralisée pour sortir du village et dès l’approche du premier chemin, nous sommes lâchés tels des fauves. On roule à plus de 30km/h sur une piste large et nous voici à l’entrée de la surprise de ce premier chrono, le terrain de moto-cross du Massegros que l’on va emprunter sur quasi deux kilomètres. C’est original mais difficile de doubler sur ce terrain très granuleux qui glisse beaucoup hors trajectoire. Je m’ingénie en tout cas à ne pas chuter bêtement et je coupe la ligne en 24e position en à peine 9 minutes de course, vraiment intense comme effort et comme ce chrono sert de référence pour placer les vagues de départ sur les sections suivantes, mieux valait ne pas traîner. Bref, une entame de Lozerienne assez atypique qui remplace le traditionnel prologue d’autrefois. Ensuite, c’est une jolie liaison facile d’une dizaine de kilomètres qui nous attend, voilà qui est parfait pour bien récupérer de ce violent effort. L’ambiance est conviviale, on a des participants qui prennent leur temps, d’autres qui ne se préoccupent pas de savoir si c’est chrono ou liaison, à fond partout ! Pour ma part, je tâche de m’économiser car c’est sur le chrono suivant que les choses sérieuses commencent. Justement, me voici tout proche du village de St Rome de Dolan où va se dérouler cette seconde chronométrée du jour sous forme d’une boucle de 11 kilomètres cumulant 250 mètres de dénivelé. Les départs s’effectueront cette fois par vagues de 5 coureurs toutes les 30 secondes en fonction du classement afin d’éviter les embouteillages dès les premiers singles.

Une petite demi-heure d’attente pour profiter du ravito et discuter avec les autres coureurs et à 11 heures, c’est parti pour la première vague. Je me retrouve dans la cinquième mais c’est rapidement à notre tour de s’élancer très rapidement car en effet après 300 mètres de course, on emprunte un single très joueur. Le tracé est très tonique avec beaucoup de relances, des changements de rythme permanents, deux montées assez courtes mais bien raides et deux descentes très piégeuses avec de belles marches à sauter. On a également quelques portages où je peine à courir tellement je suis à fond. C’est un peu la bataille dans notre groupe ce qui nous permet de mener une bonne allure. La fin du parcours est plus engagée sur un sentier GR qui longe de près la corniche qui surplombe les gorges du Tarn, il faut rester concentré et garder de l’énergie pour passer les franchissements. Voici la dernière bosse où je donne tout comme si c’était le dernier chrono et je franchis l’arche Red Bull avec le 18e temps, profitant d’une erreur de parcours de la première vague de coureurs. On termine déjà tous fatigués vu l’intensité de l’effort, je profite d’un petit quart d’heure de pause pour me ravitailler et récupérer avant la très longue liaison qui nous attend, une traversée intégrale du causse avec 27 kilomètres et 700 mètres de dénivelé. Le décor est très agréable tout comme le parcours assez physique mais peu technique, idéale pour une belle balade entre potes sans oublier l’incontournable pause photo au « Point Sublime », la véritable carte postale des Gorges du Tarn. Un ravito est installé sur la liaison avec du fromage, des gâteaux, boisson énergétique, bref on est gâtés avant de plonger vers la vallée de l’Ouysse. L’organisation a bien pris soin de nous dénicher quelques magnifiques singles vraiment dépaysants pour rejoindre le camping de La Canourgue où débutera le 3e chrono du jour. Une fois de plus, j’ai une vingtaine de minutes pour me préparer au supplice qui nous attend, une véritable course de côte longue de 7 kilomètres avec 350 mètres de dénivelé ! Si on était déjà pas calmé avant, ce chrono physique en pleine chaleur devrait tempérer nos ardeurs !

Un reclassement a été effectué après le second chrono et on va repartir en vagues selon le classement actualisé. Étant remonté dans les 20 premiers du classement, je remonte en 4e vague. Il est 13h30, c’est reparti pour un violent effort. A peine sortis du camping, on attaque la montée par un single raide et parfois technique avec de multiples épingles. J’aime beaucoup cette montée où il faut rester souple sur le coup de pédale. On passe ensuite à proximité du sabot de Malpeyre, un magnifique rocher qui domine le vallon et ses gorges. On poursuit la montée qui devient plus large et un peu moins difficile mais où cette fois la puissance est nécessaire pour faire la différence. Je m’accroche comme je peux aux bonnes roues. Le final est également chouette, on entre dans une forêt où l’on alterne petit single technique et montée sur piste pour venir couper la ligne après une petite demi-heure d’efforts. Ce sera la 19e place pour moi, me permettant de conforter le top 20 mais je termine au bord de l’épuisement. Je prends une dizaine de minutes de récupération avant de repartir pour une liaison qui va nous emmener au départ de l’ultime chrono. Ces 10 prochains kilomètres ne vont pas être faciles, ce causse de Sauveterre et son profil très vallonné nous fait mal aux jambes mais le décor est terriblement beau. Voici le petit hameau de Soulages où je me trouve un petit point d’ombre en attendant le départ du dernier chrono. Après 15 minutes d’attente, il est 15 heures et le départ est donné avec cette fois 7 kilomètres très rapides qui nous sont proposés pour rejoindre l’arrivée au Massegros. J’ai eu un peu de difficultés à me remettre dans le rythme mais une fois la seule montée du chrono passée, je me suis régalé dans le long single qui a suivi avant de finir à fond les deux derniers kilomètres très rapides me permettant de terminer cette journée à la 17e place du classement général et à la 4e place en catégorie Master à 25 secondes du podium, ça promet une jolie bataille alors qu’en tête de course, c’est le jeune coureur espoir Louis Chazaly qui prend le maillot vert « Lozère » de leader devant le coureur local Lubin Monteil à une petite minute et Maxime Rivier à déjà 4 minutes. Un délicieux repas nous est offert en cet après-midi car le lendemain une seconde étape toute aussi difficile nous attend. En tout cas, cette magnifique visite du causse de Sauveterre avec le soleil m’a particulièrement séduit, cette Lozerienne a fort bien démarrée et nous promet encore de belles surprises !


Étape 2 : Plateau de l’Aubrac et Pays des loups

Au lendemain d’une première journée disputée sous un temps estival au coeur des Causses, je retrouve les 600 participants de cette Lozerienne VTT à Peyre en Aubrac pour une seconde étape longue de 70 kilomètres cumulant 1600 mètres de dénivelé. Le temps est cette fois beaucoup plus mitigé avec un ciel gris et quelques averses, les températures restant cependant acceptables car nous sommes cette fois à 1000 mètres d’altitude sur ces hauts plateaux de l’Aubrac. Quelques minutes d’échauffement et je me présente sur la ligne de départ. Comme la veille, on partira d’entrée sur un premier chrono avec départ groupé mais cette fois sur un tracé de 13 kilomètres cumulant 250 mètres de dénivelé paraissant sur le papier sélectif mais qui ne le sera pas tant.

Dernières recommandations et briefing du jour par Ludovic Valentin, chef d’orchestre et directeur de course de cette Lozerienne VTT et c’est parti sous allure neutralisée. C’est une pluie fine qui va nous accompagner sur ce chrono d’ouverture de journée, on s’élance sur des pistes rapides rendues physiques par les pluies nocturnes, le sol est assez mou. Le dénivelé est assez régulier sur des pentes peu prononcées, bref il faut appuyer le plus fort possible sur les pédales, serrer les dents et garder les bonnes roues pour obtenir une bonne place à l’arrivée. Ce n’est pas forcément ce que j’affectionne mais je parviens à tenir les roues du 2e groupe et tirer partie d’un peu d’expérience en terminant avec le 16e temps en compagnie des 2e et 3e Master. Bon, on est plein de sable, de boue, j’essaie de me rincer un peu avant de repartir assez rapidement sur la liaison car à 1200 mètres d’altitude et avec ce temps humide, il ne fait pas chaud. On a 7/8 kilomètres pas trop difficiles à effectuer pour rejoindre le lac du Moulinet où l’on retrouve également quelques éclaircies. C’est autour de ce petit lac que va se dérouler le second chrono, on nous propose une courte boucle de 5 kilomètres qui promet un nouvel effort intense. Un bon quart d’heure à me ravitailler et à me refaire une santé après le premier chrono et la petite pluie qui s’est abattue sur nous.

Il fait 10 petits degrés mais le soleil nous fait du bien au moment de s’élancer, ce sera à nouveau 4e ligne pour moi, étant toujours 18e au classement. C’est parti pour un premier kilomètre ludique sur des petits singles qui longent les berges du lac puis une partie physique et casse pattes dont une rampe en béton qui coupe littéralement les jambes. Descente rapide avec une grosse marche à sauter et arrive le dernier kilomètre plus joueur avec des petits franchissements. Je fais quelques petites erreurs sur ce chrono et obtient le 18e temps, fidèle à mon niveau pour ce week-end où je vais devoir me battre pour conserver un top 20.

Nouvelle liaison assez courte et moins d’une dizaine de kilomètres plus loin, me voici au parc des loups, une réserve aménagée qui abrite près de 70 loups d’espèces diverses au pays du Gévaudan d’où tient la légende du fameux loup ! C’est assez sympa de nous faire visiter ce parc dans un lieu chargé par l’histoire de cette bête, ça ne laisse personne indifférent et on prend le temps de visiter quelques enclos. Une demi-heure plus tard, il est temps de se remettre dans la course, c’est LE chrono le plus exigeant du jour qui nous attend avec une descente et une remontée du Val d’Enfer au programme. Il est midi, c’est parti avec les mêmes vagues que le chrono précédent pour 400 mètres de dénivelé à dévaler ! On nous avait averti et effectivement, c’est une descente technique qui se présente devant nous sur un petit single très glissant et par moments des franchissements engagés, ce sera nettement la descente la plus technique du week-end. Malgré quelques erreurs, je reste assez prudent sur cette descente afin de ne pas tout perdre sur une chute bête. La descente passe tout de même trop vite et nous voici à St Léger de Peyre. Il faut maintenant tout remonter, quasi 400 mètres de dénivelé en moins de quatre kilomètres. Le début d’ascension très pentue sur des pierres très glissantes s’effectue à pied pour moi et je vais littéralement être en souffrance par la suite dans cette montée sur une piste collante sous un soleil revenu faire son apparition. La pente est raide, mieux valait être en forme sur ce chrono et ce ne fut malheureusement pas mon cas en perdant de précieuses dizaines de secondes. J’entends enfin à nouveau la voix du speaker, la fin de chrono approche. Traversée du hameau de Ste Lucie, dernière rampe sur asphalte et voici l’arche d’arrivée que je franchis en 27e position. Je conserve toujours mon top 20 mais il faudra réagir dans le chrono final.
Je m’écroule à l’arrivée, totalement exténué, j’en profite pour manger et boire un peu avant de me lancer sur la liaison suivante annoncée comme très physique avec 13 kilomètres et 500 mètres de dénivelé.

On va en effet devoir descendre à nouveau dans le fameux « Val d’Enfer » et remonter sur le plateau du pays de Peyre. La descente vers le vallon de la Crueize est toute aussi magnifique que celle du chrono précédent, un peu moins technique mais sur un superbe single plein d’épingles sous les bois. On traverse le ruisseau qui forme ici un vallon très sauvage avant d’attaquer l’ascension par un exigeant portage. On passe sous l’impressionnant viaduc ferroviaire puis on poursuit notre escalade par un chemin plus large mais sur un tapis de pierres. Ça passe sur le vélo mais mieux vaut regarder où poser ses pneus. Je monte vraiment tout doucement et une fois au sommet, on a 5 kilomètres faciles pour rejoindre le village de St Sauveur de Peyre où sera donné le départ de l’ultime chrono du jour. Un bon quart d’heure d’attente et on s’élance pour les 12 derniers kilomètres. En début de chrono, on aura droit à une surprise en allant visiter le site d’entraînement « VTT Gévaudan Vélo », une trace XCO uniquement dédié à l’entraînement technique des coureurs locaux longue de 1500 mètres mais où l’on trouve un vrai condensé de technique et de physique avec d’incessantes relances et de franchissements techniques. Je donne tout ce que j’ai puis je décide d’insister sur la section physique et technique qui suit. Nouvelle section technique dans un bois avec un portage très raide puis on file vers l’arrivée à Peyre en Aubrac. C’est quasi tout plat, ça roule très vite et je profite d’un regain d’énergie pour suivre la roue du 2e junior. Le résultat sera donc à la hauteur et je serais crédité du 13e temps sur ce chrono final. Du coup, je conserve ma 18e place au classement mais je remonte à la 3e place en catégorie Master pour 10 petites secondes. Ca promet une sacrée bataille pour la dernière journée de course. A l’arrivée, on nous propose à nouveau un délicieux repas puis nettoyage du vélo qui a subi un terrain particulièrement humide aujourd’hui.

Au terme de cette 2e journée de course, c’est toujours Louis Chazaly qui caracole en tête avec maintenant 5 minutes 30 d’avance sur Maxime Rivier qui a quasi fait jeu égal avec le leader sur cette étape. A la 3e place, on retrouve le coureur du team Calvisson Thomas Sanz à près de 7 minutes. Chez les dames, Olivia Villard conserve son maillot rose de leader. Place maintenant à une nouvelle nuit de repos car le lendemain c’est la 3e et dernière journée de course qui nous attend sur cette 11e édition de la Lozerienne VTT.


Étape 3 : Langogne et lac de Naussac

Direction le nord Lozère et les plateaux de la Margeride, aux portes de la Haute-Loire. J’y retrouve les 600 participants toujours en course, ambiance populaire garantie ! Cette dernière journée de course promet d’être inoubliable avec 56 kilomètres et 1100 mètres de dénivelé au programme. Comme chaque début de journée, c’est un départ groupé qui nous attend avec 13 kilomètres et 360 mètres de dénivelé sur cette première section. Départ en montée, le profil sera d’ailleurs constamment ascendant sur des pistes roulantes aux pentes modérées, un peu identique à l’épreuve chrono sur l’Aubrac la veille. Il faut beaucoup de puissance pour tenir les bonnes roues et d’entrée de jeu je commence à sentir la fatigue et ne peux suivre le groupe de mon adversaire direct, je vais limiter l’écart en compagnie de deux autres coureurs pour au final prendre la 26e place de ce chrono. Je conserve le top 20 mais je perds pour le moment ma 3e place en Master pour une trentaine de secondes. Il reste encore deux spéciales et tout reste à faire. Un ravito me permet de boire et manger un peu avant de poursuivre sur une liaison qui va nous faire traverser la forêt de Mercoire en suivant le fameux sentier GR de Stevenson. On croise beaucoup de randonneurs, parfois même avec un âne pour porter les sacs (c’est une tradition sur ce sentier). Sur cette liaison, je sens également que je suis très fatigué et je me traîne un peu pendant les 10 kilomètres qui me mène au Cheylard-l’Evêque, un petit village totalement isolé au milieu d’un paquet de vallons, cette forêt de Mercoire regorgeant de sources.

C’est ici que va se dérouler notre second chrono sous forme d’une boucle de 5 kilomètres assez exigeante autour du village. Après une vingtaine de minutes d’attente, on reprend nos vagues respectives en fonction de notre classement et pour ma part je suis abonné à la 4e vague. Go, c’est parti à bloc, enfin surtout comme je peux car on s’élance à nouveau en montée, une bonne centaine de mètres de dénivelé sur route et chemin forestier où je tente de maintenir une grosse allure. Malgré ma bonne volonté, je n’ai pas les jambes ce jour pour faire la différence. Au sommet, notre vague est groupée. La descente qui suit est très rapide, ça roule à tombeau ouvert jusqu’au village où une surprise nous attend, il faut remonter jusqu’à une chapelle qui domine la bourgade, un des nombreux sites de pèlerinage du secteur. Montée courte et intensive avec un petit point spectacle au sommet; une floppée de marches à dévaler nous attend suivie d’une descente glissante, voilà de quoi mettre un peu d’adrénaline sur ce le final de cette spéciale. J’effectue à nouveau un modeste 26e temps et je peux voir le top 20 s’envoler si je ne réagis pas lors du dernier chrono, il ne faut jamais rien lâcher sur cette Lozerienne VTT, une épreuve qui peut s’avérer aussi impitoyable pour ceux qui jouent le chrono qu’agréable pour ceux qui profitent du décor.

Justement, c’est une liaison assez douce et facile qui nous attend pour rejoindre le lac de Naussac, théâtre du chrono final de cette 11e Lozerienne VTT. La forêt laisse maintenant place à un décor plus exposé sur un plateau à 1100 mètres d’altitude, le soleil est timide. Après une petite heure de liaison, nous voici en approche du lac dans l’enceinte d’un camping. Il fait un peu frais et on ne tarde donc pas à s’élancer pour le dernier chrono long de 12 kilomètres qui promet d’être très rapide le long des berges du lac. Dernier départ et je donne tout d’entrée de jeu. C’est très ludique sur des singles rapides mais la seule difficulté va tempérer mes ardeurs, les jambes ne suivent pas l’envie. Heureusement la montée n’est pas très longue et on bascule très rapidement vers les rives du lac pour une seconde partie très technique voir trialisante sur un sentier piéton avec des petits rochers à franchir. Passage à proximité de la cascade du Donozau que je perçois à peine. Encore quelques mètres et j’arrive sur les deux derniers kilomètres tout plat. J’aperçois la digue puis l’arche finale. Derniers petits virages sur une petite zone spectacle aménagée et je franchis l’arche d’arrivée finale avec un temps moyen mais peu importe car cette section était un véritable feu d’artifice où l’on s’est régalé. Je boucle donc malgré tout cette Lozerienne VTT à la 18e place et à la 4e place en catégorie Master.

C’est le traditionnel plat signature du terroir lozérien qui clôt cette Lozerienne VTT à savoir l’incontournable aligot/saucisse. La cérémonie des récompenses couronnera le talentueux coureur Louis Chazaly qui remporte cette Lozerienne VTT devant Maxime Rivier et Cyril Gaillard tandis qu’Olivia Villard remporte la catégorie féminine devant Cécile Scotto et Sabrina Maurette.

Malgré des conditions météo mitigées les deux derniers jours, on aura été épargné par la pluie et cette 11e édition restera comme un franc succès avec un record de participation sur cette édition inoubliable avec cette visite intégrale de ce magnifique département de la Lozère que l’on nous a proposé. Rendez-vous l’année prochaine pour une 12e édition de la Lozerienne VTT !

Infos et résultats : www.lozerienne.com

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